Battu la semaine passée à Paris, pour l’ouverture du championnat, Orléans lance sa saison à domicile demain, face à Cholet. A cette occasion le public orléanais va découvrir les six recrues de l’été. Philippe Hervé, le manager de l’OLB en fait la présentation ce matin dans les colonnes de la République du Centre. Et notamment de ses joueurs étrangers, pas ou peu connus du public français.
Caleb Green :
« C’est un garçon très professionnel, toujours à 100 % à l’entraînement. Caleb est quelqu’un qui ne parle pas beaucoup. Il est même plutôt discret dans la vie. Ce n’est plus le même lorsqu’il rentre sur le terrain où il a une très forte activité. Sa polyvalence est un vrai plus pour nous. »
Bambale Osby :
« C’est un garçon pas toujours facile à saisir. Il peut être un peu rêveur, dans son coin, solitaire. On peut même parfois se demander s’il écoute ou pas… Par moments, cela interpelle. Il faut s’y adapter. Il doit encore acquérir certains fondamentaux défensifs, et alors il pourra nous montrer son côté spectaculaire qui a fait sa renommée en ProB l’an dernier. »
Ryan Ayers : (pigiste médical de Dwaynes Broyles)
« Ryan est un joueur intelligent, bien éduqué, qui est très, très à l’écoute. Avec lui, c’est toujours « oui coach ». Parfois, on aimerait même qu’il se révolte un peu plus. Je le redis c’est quelqu’un de très agréable à cotoyer. Son point fort est sa qualité de shoot. Mais comme il nous a rejoints en milieu de présaison, il n’a pas fait une préparation physique digne de ce nom. Et il le paye en ce moment. Il n’a pas trop de jambes, en conséquence il est un peu court sur ses shoots. Ce qui l’agace profondément ! »
Jahmar Young :
« Il a un peu le même profil que Cedrick Banks. Il est souriant. Il aime jouer. C’est un mec attachant. Au contraire de Bambale, Jahmar apprécie bien d’être au milieu du groupe et avoir son attention. C’est un garçon qui est pétri de talents et qui est capable de faire beaucoup de choses. Il lui reste maintenant à le montrer sur le terrain, après avoir été vite en échec à Paris la semaine dernière. Le fait d’être en détresse sur son tir, ce qu’il n’avait pas connu dans la présaison, l’a complètement déstabilisé. »