Quarante-huit heures après avoir battu Strasbourg, à l’Astroballe, l’ASVEL n’a pas réussi hier soir en demi-finale de Coupe de France contre le Paris-Levallois. En manque d’adresse extérieure (3/16 à 3 points), les Villeurbannais échouent aux portes de la finale, aux portes de Bercy. La faute notamment à Giovan Oniangue (13 points à 5/7 et 5 rebonds pour 16 d’évaluation en 21 minutes) décisif. Comme le confie Pierre Vincent au Progrès.
« Je ne vais pas de nouveau me plaindre de la date du match, tout a déjà été dit. Nous n’avons pas préparé ce match, les joueurs se sont juste reposés. Il était possible de gagner mais l’équipe a manqué trop de shoots extérieurs, de paniers faciles et de lancers francs… Difficile de vaincre quand on ne met pas les tirs ! Il y a eu à la reprise beaucoup de volonté, l’équipe est revenue après beaucoup d’efforts et a tout de suite pris un coup au moral avec les tirs d’Oniangue (dans le troisième quart-temps, NDLR). On ne l’attendait pas celui-là, il n’était pas prévu qu’il marque autant ! En outre, nous avons mal répondu aux options défensives adverses avec un manque de patience. »
Après cette élimination, Villeurbanne va désormais devoir se focaliser sur le championnat. Et préparer les playoffs.