C’est bien connu. En conférence de presse d’après match, Jean-Luc Monchau, toujours calme, analyse les rencontres en revenant sur des faits simples. Après la défaite de son équipe contre Cholet samedi, la cinquième en six journées, c’est bien entendu ce qu’il a fait (propos retranscris par Le Républicain Lorrain).
« Ne pas être en souci, serait de l’inconscience. Sur un rythme d’une victoire en six matchs, faites le calcul, ça fait cinq victoires à l’arrivée. Et avec cinq victoires, on descend…
[...] On n’a vraiment pas fait la bonne opération de la soirée. Nous voilà derniers avec Orléans. Et samedi, on va à Gravelines, sans doute sans John Linehan. On perd à nouveau un match en shootant 28 fois de plus que notre adversaire qui a réussi un magnifique festival à trois points en première mi-temps. Bravo à Cholet. On a couru derrière l’adresse du CB pendant toute la rencontre. On a beau se battre, dominer le rebond, en basket, il n’y a qu’une logique : mettre des paniers.
[...] J’ai pensé que l’adresse allait enfin changer de camp après le repos, mais Cholet a trouvé l’accès au cercle après le repos, c’est regrettable et même inacceptable. »
Car si l’attaque ne va toujours pas - « C’est Solo Diabate qui est actuellement ma seule véritable arme offensive », déclare JLM -, la défense pose aussi problème. Bref, à Nancy, c’est la crise.