Hier soir, le Paris-Levallois a bu la tasse à Limoges. Totalement balayé par la furia limougeaude, le PL n’a jamais existé dans l’Enfer de Beaublanc. Une défaite, une de plus, qui éloigne les Parisiens, dans le dur physiquement depuis plusieurs semaines, des playoffs. Au grand désarroi d’Antoine Diot, le meneur parisien. Très remonté par certaines attitudes.
« Franchement, ça me casse les couilles ! On joue chacun pour notre gueule, a expliqué le meneur au micro de Sport+, hier soir sur le parquet de Beaublanc. On ne s’est pas passé le ballon ce qui a donné des paniers faciles à Limoges. Il faut se mettre au boulot sinon on va droit dans le mur. Ce soir (hier) on a jamais été dans le match. Il va falloir se remobiliser et se mettre au travail. »