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ITW Mélanie Devaux (Limoges) : « Je sentais vraiment le besoin d’avoir un nouveau challenge »

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Née à Calais le 12 février 1992, Mélanie Devaux, joueuse au COB (Côte d’Opale Basket Calais) qui évoluait cette année en Ligue 2 Féminine, a accepté de répondre à notre interview suite à son transfert pour le Limoges ABC.

Propos recueillis par Valentin Delrue.

Bonjour Mélanie, peux-tu te présenter aux lecteurs de Catch & Shoot ?

Source Frédéric CAUPAIN

Photo : Frédéric Caupain

Je suis née à Calais le 12 Février 1992. Mon attirance pour le basket a commencé à l’âge de 12 ans, pendant ma scolarisation en école primaire. J’ai effectué mes débuts dans ce sport par hasard, compte tenu de mon attirance pour le foot que je pratiquais jeune avec mes oncles. Mes débuts au basket font suite à une demande d’un ami qui évoluait à cette époque dans une équipe d’un club district local (Balzac), et parmi laquelle il manquait un(e) joueur/joueuse. J’ai effectué un an au sein de ce club, avant d’être appelée en fin de saison pour venir effectuer des tests au COB. Mes parents ont eu un peu peur au départ mais ont vite accepté. Je me revois prendre mon petit vélo pour rejoindre la salle (rires).

Concernant les passions, j’adore le sport en général, le foot, le basket que j’ai accroché de suite quand j’ai commencé. J’aime également tous les sports de raquette et la natation. Globalement je suis une personne qui aime beaucoup le sport.

Au niveau de ma scolarité, je suis entrée en section sport étude à Coulogne, puis au moment du lycée se présentait à moi deux opportunités : intégrer une section sport étude au Lycée Sophie Berthelot de Calais ou alors le COB Calais pour le centre de formation. J’ai eu l’occasion plus jeune, de discuter avec des joueuses qui m’ont dit que le centre de formation c’était l’opportunité d’être en contact avec le haut niveau. J’ai ainsi opté pour cette orientation, en poursuivant mes études au Lycée Léonard de Vinci de Calais en enseignement technologique, seul Lycée relié avec le centre de formation du COB. J’ai choisi la filière électronique par dépit au départ mais, à l’issue d’une initiation aux journées portes ouvertes, j’ai vraiment adoré. Aujourd’hui je sais que mon futur (autre que le basket) sera vraiment dans cette branche. À l’issue de mon bac, je souhaitais arrêter pour me consacrer à temps plein au basket. Mais en parlant avec mon Coach, Cyril Sicsic, à l’époque, il m’a incitée à continuer mes études. J’ai donc poursuivi en BTS Assistant Technique de l’Ingénieur, je suis actuellement dans la préparation des derniers oraux qui se dérouleront les 17 et 20 Juin.

On te connaît comme la jeune joueuse du COB (Côte d’Opale Basket Calais) issue du centre de formation, comment gères-tu (ou as-tu géré) ta vie d’étudiante ?

Les débuts sont difficiles. Ça demande une gestion de son temps, car il faut aussi travailler ses cours à côtés. C’est un rythme qu’il faut prendre assez tôt, mes parents m’ont beaucoup aidé. C’est principalement avoir une hygiène de vie seine pour que tout s’accorde.

Sur le plan sportif, en pleine progression, si tu devais définir tes modèles/idoles, qui citerais-tu ? Pourquoi ?

Il y a un joueur que j’adore particulièrement, c’est Stéphane Risacher. Quand on a commencé à avoir Internet à la maison, les matchs de basket diffusés étaient souvent ceux de Stéphane. J’ai toujours été super fan de ce joueur, en plus j’adore les gauchers. J’aime aussi Juan Carlos Navarro, mon ancien coach Julien Lalanne adore ce joueur. Il nous montrait de temps en temps des montages vidéo de lui, et à force de regarder c’est vraiment un (très bon) joueur que j’admire. C’est un joueur imprévisible, et j’adore ça. J’aime m’inspirer de joueurs masculins, par préférence au jeu masculin.

« À mon retour de blessure, j’avais peur »

Tu réalises cette année ta meilleure saison sous les couleurs du COB (9,1 pts ; 1,9 rb ; 1,7 pd pour 5,9 d’éval sur 13 matchs). Écartée en Février pour fracture du scaphoïde, quelles ont été tes sensations à ton retour ?

Photo : Frédéric Caupain

Photo : Frédéric Caupain

Au départ, j’avais peur. J’ai eu le feu vert pour reprendre, mais j’étais consciente que je prenais un risque par mon jeu un peu ‘foufou’ (joueuse omniprésente sur les terrains). Il suffisait que je retombe sur mon poignet pour dire au revoir au basket. Pendant l’immobilisation, je continuais à assister à tous les entraînements, les filles ont toujours été présentes. J’ai repris le collectif sur feu vert médical, avec une appréhension avant d’oublier la blessure. À vrai dire, au départ, j’étais plus dans l’optique, pour moi, de reprendre l’entraînement. Je ne m’attendais pas du tout à jouer, mais plutôt à servir de rotation pour aider si besoin. Physiquement la reprise ce n’était pas ça, je suis restée 3 mois en dehors, le fait de reprendre le cardio c’était compliqué au départ avant de retrouver mon niveau. À mon retour, c’était comme si je n’étais jamais partie. Sur le shoot, quand je venais à l’entraînement j’effectuais le geste. Après je suis un peu déçue, quand j’avais encore ma main gauche, je m’étais trouvée un shoot mi-distance, je suis un peu triste sur ça… (rires). À mon retour j’arrivais avant, pour pouvoir effectuer des séries de shoots. Finalement c’est revenu assez vite.

« Le Final Four, c’est une grosse désillusion »

Le COB est de nouveau (après 2012) passé au travers du Final Four à Nice en terminant 4e. Quelle est ta réaction sur ce Final Four après votre défaite en demi-finale face à Angers où vous étiez déclarées favoris pour avoir fini devant la formation angevine en saison régulière ?

C’est une grosse désillusion… Savoir qu’on finit devant, et avoir le ressentiment que sur un match on gâche toute la saison… On lâche l’accession en Ligue 1 par ce match, c’est dommage. Angers est l’équipe qui nous a causé le plus de difficultés cette année. Sur le match aller on gagne sur le fil en toute fin de match, et nous perdons chez elles. C’est vraiment une équipe qui nous a causé beaucoup de problèmes. Le groupe s’était préparé, on est resté presque 15 jours sans matchs, à penser pendant 15 jours ‘Angers, Angers, Angers’… Elles étaient moins tendues, jouaient avec moins de pression, plus libérées. Nous, on disputait le Final Four pour la deuxième année, deux ans qu’on était attendues plus haut. On avait un peu plus de pression. Sur le match on a pas eu beaucoup d’adresse… Angers a été très fort en défense. Elles connaissaient nos systèmes de A à Z ! Au millimètre près de nos déplacements. C’était difficile ensuite de s’adapter très vite. Alors qu’on avait vraiment le potentiel, on n’a pas su utiliser nos points forts au moment voulu. C’est dommage…

Globalement, comment juges-tu la saison de ton équipe ?

Dans l’ensemble on effectue une très belle saison. Après on s’est loupé sur le match le plus important, la demi-finale. Ça laisse un dernier mauvais souvenir, mais derrière ça, on réalise une grosse saison. On ne perd aucun match à domicile, c’est un gros point positif. À l’extérieur on laisse passer des matchs ‘faciles’, on les laisse nous mener alors qu’on ne s’attendait pas à perdre.

Tu réalises notamment ton match référence de saison  en petite finale face à Pau (16 pts : 100  % à 2 pts, 100 % aux LF, 50% à 3 pts ; 3 rbs ; 1 int pour 18 d’éval) et termine meilleure Calaisienne. Quel bilan dresses-tu de cette bonne fin de saison sur le plan personnel ?

Je suis très contente d’avoir réalisé ce match. Après ça n’a pas d’importance pour moi, car il n’y a pas le résultat d’équipe à la fin… Pour moi l’importance c’était de gagner et avec le groupe, finir à la troisième place. Même si on termine sur une défaite la veille, pour nous c’était très important par rapport à notre saison, de revenir avec une médaille…

« Je sentais vraiment le besoin d’avoir un nouveau challenge »

On apprenait il y a quelques jours ton départ pour le club de Limoges, quelles ont été les raisons de ce départ ?

Photo : Frédéric Caupain

Photo : Frédéric Caupain

Ce qui m’a débloqué, c’est principalement mes études. Passer mon BTS et sentir que ça s’est bien passé. Je l’ai donc moins perçu comme devoir rester pour finir mes études. J’arrive en âge où j’éprouve le besoin de découvrir d’autres choses. J’ai passé toute ma vie à Calais, toute ma formation à Calais. En côtoyant des joueuses d’ici et d’ailleurs, ça donne vraiment envie de découvrir autre chose. J’avais l’impression d’avoir fait le tour de Calais sur le plan du basket, je sentais vraiment le besoin de découvrir une autre culture, d’avoir un nouveau challenge : Je voulais me mettre en danger, et  m’ôter ce statut de jeune que je pouvais avoir à Calais.

Connais-tu les autres recrues du Limoges ABC ? Globalement sont-ce les promesses de recrutement qui t’ont fait venir ou plutôt le discours qui t’a été proposé ?

Je ne connais, à ce jour, aucun nom des futures recrues. Sincèrement, j’avais d’autres propositions mais, de mon ressenti, avec moins de responsabilités. Limoges pensait reconstruire le groupe totalement, je me suis dit qu’il y avait vraiment une place, un rôle important à prendre. J’ai envie d’assumer ce rôle. Mon amie, Martine Barba, jouait à Limoges cette année, elle y est restée 3 ans. Elle m’a parlé du club, des différentes valeurs, du fonctionnement, et c’est quelque chose qui m’a plu. Ça se reflète comme un club très familier. Il effectue beaucoup d’actions, comme on le fait au COB avec ‘Marraines de Cœur’ et c’est quelque chose que j’aime bien.

Sur le plan personnel, peux-tu nous parler un peu plus de tes ambitions pour la suite de ta carrière ?

J’ai envie d’avoir une bonne carrière, mais on n’est jamais à l’abri d’une blessure. C’est pour cette raison aussi que je reste liée avec les études, c’est important. J’ai toujours voulu être basketteuse professionnelle, après, est-ce quelque chose qui va me réussir, je ne sais pas… J’aimerais, c’est mon rêve, comme tout le monde, devenir une grande joueuse. Je suis attirée par tout ce qui est ‘club européen’, j’aimerais bien jouer à l’étranger. Mais c’est un projet de petite fille. Ce que j’entreprends à Limoges je le ferai à fond.

« C’est une expérience extraordinaire de porter un maillot de l’équipe de France »

Tu as par ailleurs disputé bon nombre de match sous les couleurs nationales en U18, avec le championnat d’Europe en Slovaquie. On pouvait à cette époque lire dans la presse « Elle (Mélanie) fait partie des trois meilleures joueuses de France des U18 et peut prétendre à voir l’avenir en bleu ». Quel regard portes-tu aujourd’hui sur cette aventure avec la sélection Française ? T’a-t-elle fait évoluer dans ton jeu, ton analyse du jeu ?

Photo : FIBA Europe

Photo : FIBA Europe

C’était génial ! Le jour où j’ai appris ma pré-sélection, je n’en revenais pas. J’étais en déplacement avec les pros, j’ai eu un appel de mon père le Samedi matin juste avant le shooting lors d’un match à Montpellier (à cette époque on était encore en LFB). Mon père m’appelle et me dit qu’il a reçu un courrier de l’équipe de France pour la sélection des U18 pour le championnat d’Europe en Slovaquie. Je n’en revenais pas. Je regardais souvent le site de la fédération concernant la sélection, il y avait deux joueuses qui ont effectué les sélections Nord-Pas-de-Calais avec moi. Je regardais souvent ce qu’elles faisaient, ça m’impressionnait et j’étais très contente pour elles. Pour moi, c’était vraiment un rêve et je n’aurais jamais pensé que ça puisse m’arriver un jour. C’était énorme, mes parents étaient super fiers. Au fil des rencontres j’ai commencé à m’exprimer un peu plus, avec un peu moins de pression. Au dernier tournoi de préparation pour aller en Slovaquie, à Lanzarote (Espagne), je sentais que j’étais sur le départ. Je me suis dit je n’ai plus rien à perdre et j’ai foncé. Le lendemain sur mon billet d’avion, le prénom d’une des filles qui devait être gardée y était barré et remplacé par le mien. C’était une grosse surprise pour moi, ça a rendu l’aventure un peu plus belle. On avait une équipe qui jouait avec le cœur, et l’aventure y a été 10 fois meilleure. Si c’était à refaire, je le referais.

C’est une expérience extraordinaire de porter un maillot de l’équipe de France, chanter la Marseillaise, c’est très émouvant. C’est énorme, je souhaite à tout le monde de vivre ça au moins une fois. Une saison ça se joue sur 10 mois. En équipe de France on prépare les évènements importants en à peu près 2 mois. On passe d’1h30 voire 2h, à 3h d’entrainement, 2 fois par jour. On rentre dans une autre structure, très disciplinée, on reste en groupe tout le temps. On a les temps de récupération qu’il faut vraiment apprécier sur 2 mois intenses.

 Concernant le Basket Féminin et sa médiatisation, quel est ton point de vue ? Une différence tend-elle à se faire depuis les JO et le parcours de nos braqueuses sous l’impulsion de Céline Dumerc ?

À Calais, on est médiatisé comme l’année dernière. De mon ressenti, il n’y a aucun changement pour moi. C’est sûr que  des filles comme Céline Dumerc sont plus sollicitées par des chaînes comme L’equipe 21 pour des reportages, Intérieur Sport, etc. Ce sont des joueuses qui vont permettre aux filles de se faire un peu plus médiatiser et c’est très bien pour le basket féminin, le sport féminin. J’aimerais bien que ça continue à évoluer.

On voit également le COB très impliqué avec l’opération « Marraines de Cœur » auxquelles vous avez données de votre temps aux jeunes filles des Yvelines. Peux-tu nous parler de ce projet, toi qui a eu cette chance d’intégrer un centre de formation pour aujourd’hui pratiquer le Basket à Haut niveau ?

Cette année on a fait beaucoup d’actions comme les « Marraines de Cœur ». On est allées il n’y a pas longtemps dans les Yvelines, on reçoit différentes écoles, exclusivement des filles. J’adore me proposer pour être marraine, me proposer de l’être pour les petits, surtout les babys. On établit différents ateliers thématiques. Je me souviens de la remarque d’une petite fille cette année qui disait devant les caméras : « Ça me fait très plaisir de voir des joueuses professionnelles aujourd’hui car d’habitude il faut payer très cher pour les voir ». C’est là que je me suis dit, c’est dingue l’image qu’ils ont de nous, cette image de Star.


Alice Nayo rejoint Nice (LFB)

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Après les arrivées de Lætitia Guapo et Margot Vidal-Geneve, le Cavigal Nice, premier de la saison régulière de LF2, a annoncé le renfort d’Alice Nayo (1m86, 1993) en provenance de Villeneuve d’Ascq où elle évoluait depuis 2011 après trois années passées à l’INSEP. Cette poste 4 de formation a disputé 23 matches de LFB en 2012/2013 pour 3,4 points et 1,3 rebond de moyenne. Beaucoup utilisée en début de saison du fait de la blessure d’Emma Meesseman, son temps de jeu s’est nettement réduit lors du retour de cette dernière.

Les trois joueuses, plus Margaux Galliou-Loko et Marie-Eve Paget, font partie du projet jeune développé par Rachid Méziane. Ainsi, avec les recrutements d’Anna Montanana et KB Sharp, la formation du sud de la France devrait allier expérience et jeunesse l’an prochain en LFB.

Alice Nayo est actuellement avec Margaux Galliou-Loko en équipe de France U20 pour préparer le championnat d’Europe.

Photo : LFB

Jean Bernage aux Sables d’Olonne (NM2), Raphael Wilson s’en va

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Les Sables d’Olonne sortent d’une saison mitigée. L’équipe vendéenne a terminé dixième de la poule B de Nationale 2 (11 victoires pour 15 défaites).

Pour l’année prochaine, les dirigeants ont déjà bien avancé sur le recrutement. Ainsi, l’ancien intérieur des Espoirs de Vichy  Sébastien Frédéric (22 ans la semaine prochaine, Chalosse), le pivot états-unien Josh McCarver (2m06, 23 ans, Sacramento State) qui tournait à 5,3 points et 4,2 rebonds en 15 minutes en senior en 2011/12 en NCAA et Jean Bernage (1m98, 25 ans) arrivent. Ce dernier possède un gros C.V. (ex Le Havre, Quimper et Vichy) mais sort d’une saison blanche au GET Vosges (NM2).

Dejan Radojevic et l’ancien grand français Raphaël Wilson (1m95, 24 ans) quittent le club. L’ancien célèbre intérieur de Challans Benjamin Boutry (1m98, 33 ans), lui, devrait arrêter sa carrière.

Les highlights de Josh McCarver lors de sa saison senior :

Photo : Les Sharks félicités par la compagnie de bus d’Antibes

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Comme cela se fait dans de nombreuses villes états-uniennes en cas de succès de l’équipe locale, la ville d’Antibes, via la compagnie de bus Envibus, a félicité les Sharks champion de Pro B la semaine dernière en battant en finale Châlons-Reims.

Antibes

EdF (F) : La France vient à bout du Canada (55-35)

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Ca commence à devenir une habitude depuis le début de la préparation. Les françaises peinent en première période et déroulent en seconde. Cela s’est encore vu ce soir pour l’ouverture de l’EuroEssonne qui se dispute à Evry. Après vingt minutes très poussives (19-17), Sandrine Gruda (15 pts, 7 rbds, 21 d’éval) et ses partenaires ont fait le métier au retour des vestiaires en infligeant un 17-8 aux Canadiennes dans le troisième quart-temps.

Le jeu collectif français a compensé la maladresse (37%). Toutefois, c’est nettement supérieur aux coéquipières de Justine Colley (12 pts) qui n’ont jamais paru en mesure de rivaliser avec leur pourcentage (24%) calamiteux aux tirs.

Cette victoire est la 7e en autant de rencontres pour les joueuses de Pierre Vincent. Toutefois, les deux derniers matches – demain et dimanche – respectivement face à la Turquie et à l’Espagne, devraient être de bien meilleurs indicateurs quant aux forces en présence pour l’Euro qui début dans une semaine.

Anaël Lardy (photo : Olivier Martin)

Vidéo : A.J. Slaughter, MVP de la saison du Cholet Basket

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Les supporteurs du Cholet Basket ont élu A.J. Slaughter MVP de la saison même si ce dernier est parti à l’Élan Chalon. Voici un mix de près de 10 minutes pour revenir sur sa saison où il a tourné à 13,5 points de moyenne (51,7% aux tirs et 42,9% à trois points), 2 rebonds, 3,9 passes et 2,1 balles perdues pour 13 d’évaluation en 27 minutes.

Poitiers a fait une proposition à Tony Dobbins

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Après un exercice 2012/2013 ponctué par une relégation en Pro B, Poitiers commence à poser les bases de son équipe pour l’année prochaine. Le coach, Rudy Nelhomme (41 ans) a prolongé son contrat pour trois saisons supplémentaires. Priorité du PB86 ? Conserver l’arrière Anthony Dobbins (1,92 m, 31 ans). Pour cela, la direction a fait une offre à l’ex-joueur d’Orléans, comme le confie Rudy Nelhomme à La Nouvelle République.

« Nous lui avons fait une proposition, sachant qu’il en a reçu de clubs étrangers ou de Pro A. On sait aussi qu’il apprécie Poitiers et le PB où il n’est pas loin d’avoir fait sa meilleure saison. Nous attendons sa décision. »

De par sa polyvalence et sa combativité, le natif de Washington est très apprécié dans le club de la Vienne. En 29 matchs cette saison, il a tourné à 9,7 points (46,1% aux tirs et 35% à trois points), 7,1 rebonds, 3,2 passes et 2 balles perdues pour 15,3 d’évaluation en 32 minutes.

Anthony Dobbins (photo : Tuan Nguyen)

Chalon : Romain Chenaud sera l’assistant de Mickaël Hay

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Après les signatures d’A.J Slaughter et de Jon Brockman, le nouveau coach de l’élan Chalon Mickaël Hay (38 ans) continue de former son équipe pour l’année prochaine. Via Le Journal de Saône et Loire, le président du club bourguignon, Dominique Juillot a annoncé que Romain Chenaud (30 ans) serait le nouvel assistant de Mickaël Hay. Ce dernier s’est déclaré ravi.

« C’était ma volonté première car il a fait du très bon travail avec les Espoirs depuis 6 ou 7 ans. » (JSL)

En effet, au club depuis 2001, Romain Chenaud a tout gagné cette saison. Avec les Espoirs, il a remporté le championnat de France, le Trophée du Futur et le trophée du meilleur entraîneur des centres de formations.  Espérons pour lui qu’il aura la même réussite avec les professionnels.

Photo : Charlotte Geoffray


Paul Rigot (INSEP) et Antoine Pesquerel (Cholet) à Limoges

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photo : Tuan Nguyen

Paul Rigot (photo : Tuan Nguyen)

Lucas Paoletti et Paul Rigot ont réalisé un séjour concluant à Limoges. Testés il y a deux semaines par le CSP, les deux pensionnaires de l’INSEP ont donné leur accord pour rejoindre le club limougeaud où ils évolueront avec les Espoirs et seront le bout du banc en Pro A. Si pour le premier, la nouvelle était connue depuis plusieurs jours, on vient de l’apprendre pour le deuxième.

Paul Rigot (2m01, 18 ans) de par sa grande taille (2m01, 2m10 d’envergure) et sa position (2/3) est considéré comme le deuxième plus gros potentiel de la promotion 1995 du CFBB derrière Damien Inglis qui a signé à Roanne. L’ancien joueur de la JALT Le Mans est capable de mettre des tirs extérieurs (32,6% derrière l’arc en NM1) comme de finir fort sur pénétration. Délié, il peut se faufiler dans les défenses adverses ou finir en puissance. Néanmoins, pour devenir un véritable arrière de haut niveau, il doit progresser sur son dribble et être capable de créer (mauvais ratio passes décisives/balles perdues : 0,9/2,6). Gros rebondeur (4,3 en NM1), il tourne à 9,4 points de moyenne en moins de 29 minutes en Nationale 1. A noter qu’il était suivi par de nombreuses équipes NCAA mais qu’il a finalement renoncé à aller jouer outre Atlantique.

Retrouvez sa présentation en cliquant ici.

En Espoirs, il fera équipe avec un deuxième ancien coéquipier de l’INSEP : l’intérieur Antoine Pesquerel (2m15, 19 ans). Ce dernier, sorti du CFBB à l’été 2012, évoluait au Cholet Basket où il tournait à 3,5 points à 42,6% et 3,5 rebonds en 16 minutes.

Antoine Pesquerel (photo : Tuan Nguyen)

O’Darien Bassett courtisé par Bourg

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O’Darien Bassett contre Bourg cette saison (photo : Vincent Janiaud)

Après Clermont-Ferrand, Bordeaux et Rouen, O’Darien Bassett (1m87, 27 ans) connaîtra-t-il un quatrième club en Pro B en quatre saisons ? C’est possible. En effet, selon nos informations, la JL Bourg serait intéressée pour faire venir le poste 2/1 états-unien. Une offre lui aurait même été formulée.

S’il venait à rejoindre la Jeu, l’ancien pensionnaire de Troy University (2006/08) formerait un duo ultra complémentaire avec le joueur très académique qu’est Philippe Braud. Très athlétique, rapide et capable de prendre feu (35,7% à 3 points, quatre matchs à 25 points ou plus), le natif de Carrollton (Georgie) sort de son meilleur exercice chez les professionnels sous les ordres de Laurent Sciarra (15,4 points à 49%, 4,5 rebonds, 4,6 passes décisives, 2,4 balles perdues et 4 fautes provoquées pour 16,7 d’évaluation en 29 minutes).

Son parcours depuis la fin du lycée :

2004-06 : Okaloosa-Walton CC (Niceville , Floride – Junior College)
2006-08 : Troy University (NCAA I)
2008-09 : teckpro Braves Kaiserslautern (Allemagne – D2)
2009-10 : CSSU Craiova (Roumanie)
2010-11 : Clermont (Pro B)
2011-12 : Bordeaux (Pro B)
2012-13 : Rouen (Pro B)

A Bourg, il aura l’occasion de retrouver Kevin Corre. Joueur qu’il avait violemment postérisé lors de sa première saison en France, à Clermont-Ferrand.

Giedre Paugaite et Jacinta Monroe officiellement aux Flammes Carolos

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Après avoir obtenu, il y a une semaine, l’assurance d’évoluer en Ligue Féminine la saison prochaine, le club des Flammes Carolos commence, petit à petit, à dévoiler son effectif pour la saison prochaine. Le premier volet a consisté à faire signer de nouveaux contrats à Amel Bouderra (1m63, 1989), de Yacine Sene (1m82, 1982) et d’Ekaterina Dimitrova (1m80, 1987).

Aujourd’hui, par l’intermédiaire d’un communiqué, le club a officialisé les arrivées de Giedre Paugaite (1m92, 1990) et Jacinta Monroe (1m96, 24 ans) annoncées il y a déjà plusieurs semaines. Ces deux recrues devraient constituer les titulaires aux postes d’intérieures.

Sous la houlette de Hervé Coudray à Mondeville, la Lituanienne Paugaite a tourné à 8,9 points, 5,2 rebonds et 1,1 passe décisive pour 9,8 d’évaluation.

Quant à elle, Jacinte Monroe, possède un bon C.V. pour remplacer Aminata Nar Diop. En effet, Monroe, après avoir réalisé un excellent cursus au lycée (meilleure joueuse de Floride en 2005/06) puis à l’université de Florida State (meilleure contreuse de l’histoire de la fac, quatrième marqueuse et rebondeuse), a été draftée en sixième position en 2010 par les Washington Mystics. Si elle n’a pas réussi à s’imposer dans la ligue états-unienne (2,1 points à 48,4%, 0,9 rebond et 0,5 contre en 7 minutes sur 21 matchs en 2010 et 4 matchs seulement à Tulsa en 2011), elle réalise une belle carrière en Europe. Intéressante pour sa saison rookie à Saragosse – club qu’elle a quitté en raison de salaires impayés – en 2010/11 (10,4 points et 6,6 rebonds), elle a cartonné en Turquie l’an dernier (16,6 points et 13,9 rebonds à Cankaya Universitesi) avant de confirmer cette saison à Girone (13,4 points à 54,4%, 8,7 rebonds et 1,1 contre en 25 minutes) où elle jouait aux côtés de l’ancienne légende de LFB – trois fois meilleures joueuse en 2002, 2003 et 2004 – et femme de Danny Strong, Alliston Feaster-Strong. Après son départ de Saragosse, elle a aussi joué en Chine, au Beijing Chinese Wall (seulement 7,9 points et 5,4 rebonds de moyenne).

Jacinta Monroe (photo : D.R.)

Nancy : Solo Diabaté va tenter sa chance en NBA

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Sous contrat avec le SLUC Nancy pour une saison encore, Solo Diabaté, qui dispose d’une clause de sortie (payante) jusqu’au 30 juin, attire les convoitises. Il n’est donc pas certain qu’il soit encore en Lorraine à la reprise. Après avoir été contacté par le BCM Gravelines-Dunkerque (qui lui a offert un contrat de trois ans), l’arrière ivoirien va désormais tenter sa chance outre-atlantique, en NBA. L’ancien Roannais va participer à des workouts avec des franchises NBA et devrait disputer une Summer League.

« Pour moi, garder Solo Diabaté est une priorité », confie Alain Weisz, le coach du SLUC, à l’Est Républicain. « Mais il a apparemment décidé de tenter sa chance en NBA, cet été. Il va effectuer des ’’workout’’ et participer à la ’’summer league’’ de Las Vegas. (…) Si c’est pour partir en NBA, on ne pourra pas le retenir. Si c’est pour aller chez un concurrent dans le championnat de France, c’est différent… »

L’international ivoirien sort d’une saison pleine en Pro A avec le SLUC Nancy où il a tourné à 13,4 points, 6,7 passes et 4,2 rebonds pour une évaluation moyenne de 16,4.

Photo : Éric Legrand

Rudy Gobert ne disputera pas l’Eurocamp de Trévise

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Rudy Gobert ne sera finalement pas présent à l’Adidas Eurocamp de Trévise ce week-end. Non, il n’a pas décidé de changer au dernier moment son programme pour rester aux États-Unis. Simplement, le Choletais souffre d’une intoxication alimentaire et a fait un passage à l’hôpital. Il n’est donc pas apte à évoluer devant les scouts NBA ce week-end. Il devra donc se reposer et se préparer pour la seconde vague de workouts qui le verra notamment passer par Minnesota le 13 juin prochain.

Photo : Sébastien Meunier

Crawford Palmer et David Lesmond signent à Bandol (Pré-Nationale)

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Bandol (Var) vient de réaliser une jolie performance. Le club d’Excellence Régionale Masculine a réussi à faire signer Crawford Palmer (42 ans) et David Lesmond (38 ans). Le premier avait arrêté de jouer à l’issue de la saison 2005-2006 un an après avoir remporté le titre de champion de France avec Strasbourg. Depuis, l’ex-international a fait beaucoup de choses dans le monde du basket français. Jusqu’à l’année dernière, il était également responsable des relations entre l’équipe de France et les joueurs NBA. Le deuxième avait raccroché les baskets après une dernière expérience en 2005 à Golfe-Juan (NM2). Un des fils d’Alain Weisz, nouveau coach du SLUC Nancy évolue également à Bandol. L’équipe sudiste sera bien encadrée. En effet, c’est Jean-Paul Besson (40 ans) qui entraînera la formation rouge et noire. L’ancien joueur de Vichy aura pour objectif d’amener le club en Nationale 3.

Crawford Palmer à Strasbourg en 2005 (photo : 20 Minutes)

Un écrant géant au Rhénus pour le match 4 de la finale

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Ce soir, le championnat de France 2012/2013 pourrait connaître son épilogue. En effet, en cas de victoire de la JSF Nanterre dans le match 4 face à Strasbourg, les hommes de Pascal Donnadieu seraient sacrés champion de France. Mais Alexis Ajinça et ses partenaires ne l’entendent pas forcément ainsi et auront à cœur de gagner ce soir la 4e manche à Coubertin afin de retourner au Rhénus la semaine prochaine.

Pour les supporters alsaciens qui n’ont pas pu faire le déplacement à Paris, la ville de Strasbourg a installé un écran géant au Rhénus pour retransmettre la rencontre indique les DNA. L’accès est gratuit (2000 places maximum) et les portes ouvriront à 20h.


Le projet PSG Basket décalé d’un an ?

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Il y a de cela un mois maintenant, vous étiez 63% à considérer l’arrivée des Qataris dans le basket à travers l’émergence du PSG Basket comme une avancée favorable pour le basket français. Si on pensait que les tractations avançaient dans le bon sens ces dernières semaines avec notamment le déplacement du député-maire de Levallois, Patrick Balkany, au Qatar, il semblerait que le projet n’aboutisse finalement pas dès cette année indique l’Equipe de son édition papier du jour.

En pleine reconstruction, avec notamment la nomination de Jean-Pierre Aubry à la tête du club en lieu et place de Francis Flamme, le Paris-Levallois devrait rester en l’état pour au moins une saison. En effet, le timing serré n’est pas, selon le quotidien, propice à de grands changements qui devraient s’opérer dans le temps. Toutefois, les ambitions du PL, même sans l’investissement de QSI (Qatar Sport Investments), ne seront pas revues à la baisse pour l’an prochain. Au contraire, avec un budget en hausse (passage de 3,8 millions d’euros à 4,6 millions d’euros), le club entend bien atteindre le haut du pavé. « On s’est fixé pour objectif en 2013/2014 de terminer dans le dernier carré de la Pro A afin de rendre le club présentable pour des investisseurs », a expliqué le nouveau président Aubry à l’Equipe. De quoi laisser la porte ouverte à l’arrivée de QSI à l’été 2014…

Le PSG Basket de retour en 2014 ?

Moussa Camara quitte Lille pour Berck (NM2)

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Auteur de deux saisons rookies discrètes à Lille avec 4,5 points à 35% aux tirs, 0,5 rebond et 0,5 passe pour 2,3 d’évaluation en 65 matchs, Moussa Camara (1,96 m, 25 ans) va aller chercher plus de responsabilités en NM2. Celui qui émargeait à onze minutes de moyenne en Pro B s’est engagé avec Berck, récent perdant malheureux d’une finale d’accession pour la NM1 contre Cergy-Pontoise.

L’ancien joueur de Birghampton University est donc la première recrue du nouveau coach, Arnaud Ricoux.

Photo : Christophe Delrue

Pascal Donnadieu : « On est déjà entré dans l’histoire du basket français »

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Ce samedi soir, la JSF Nanterre peut être sacrée championne de France de basketball pour la première fois de son histoire. Le club accueille, à Coubertin, Strasbourg IG. Si, à domicile, Nanterre a désormais le statut de favori, Pascal Donnadieu, l’entraîneur de l’équipe francilienne, se refuse à penser au titre, comme il l’a confié hier en conférence de presse devant Christophe Remise de Sport24.

« Ce serait le plus gros danger. Je ne dis pas ça par fausse modestie, mais Strasbourg a toutes les armes pour gagner le titre, même si on mène actuellement 2-1 dans la série. L’objectif sera de tout donner samedi. Nos atouts, c’est notre énergie, le public. On parlait d’un potentiel désavantage de jouer à Coubertin plutôt qu’à Nanterre avant le match 3. J’ai eu le sentiment que c’était au contraire un coup de booster supplémentaire. On a mobilisé notre public pour qu’il y ait une ambiance de folie demain (ce samedi). Le public peut encore faire plus que mardi. C’est un atout qui n’est pas négligeable. Je sais que ça a poussé les joueurs à se transcender, des deux côtés du terrain. C’est tellement mobilisateur… Il faudra que ça soit de la folie dans la salle. Encore plus que mardi dernier. »

Une défaite ce soir, et plus généralement en finale, ne lui ferait pas oublier le fabuleux parcours de son équipe.

« Pour moi, on est déjà entré dans l’histoire du basket français. Le fait d’être en finale et d’avoir fait tout ce qu’on a fait, en tant qu’avant-dernier budget de Pro A… Mais on ne voit pas les choses comme ça. On ne pense qu’au match de samedi. On n’a pas envie de penser à l’histoire ou à ce genre de chose. Notre objectif, c’est d’être aussi performant que possible samedi. Si on devait s’incliner lors du match 4, on irait à Strasbourg en étant motivé et en se disant qu’on va jouer le coup à fond. Il ne faut pas penser au titre, ce serait le meilleur moyen de se planter. »

Pascal Donnadieu après la victoire du match 3 (photo : Claire Macel)

EdF U15 (F) : Un groupe de 20 pour le tournoi de Mulhouse

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Si les équipes de France U15 masculine et féminine ne disputent aucune compétition officielle (Euro par exemple), chaque été des rassemblements sont organisés afin de permettre aux futurs prospects du basket français de se réunir et disputer des tournois amicaux. Ainsi, dans l’optique de préparer le tournoi de l’Amitié en Grèce (Kavala), qui aura lieu du 26 au 28 juillet avec la Grèce, l’Espagne et l’Italie, Fabien Frydryszak, le sélectionneur des U15, a convoqué un groupe de 20 joueuses depuis mardi dernier pour un stage à Mulhouse qui durera jusqu’au 15 juin et qui sera ponctué par trois rencontres amicales face aux U16 de l’Allemagne.

Pour l’occasion, le staff a créé une page Facebook pour suivre les aventures de U15. À retrouver en cliquant ici.

Composition de l’équipe :

Rang du fond : Charlotte Margottin (kiné), Marie-Paule Fopossi, Roxane Lingua, Sarah Shematsi, Marina Ewodo, Astou Gaye, Mathilde Huet, Myriam Djekoundade, Maeva Djaldi Tabdi, Morgane Armant, Adèle Raveleau, Philippe Desmet (médecin)
Rang de devant : Olivier Jordy (assistant), Roxane Boyoko, Amandine Toi, Johanna Lukoki, Laura Fischer, Justine Wintz, Romain Leroy (assistant), Clara Penaveyre, Margaux Fabre, Carla M’Baye, Léa Delaplace, Diene Diane, Fabien Frydryszak (entraîneur)

Strasbourg : John Shurna, grippé, tiendra sa place

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Déjà peu en forme mardi soir, où il s’est fait dominer en défense par de nombreux adversaires (en particulier David Lighty), John Shurna ne devrait pas être au mieux ce samedi soir pour le match 4. En effet, le poste 3/4 états-unien est grippé depuis le milieu de la semaine annonce L’Alsace. En playoffs, le natif de Glen Ellyn (Illinois) tourne à 7,7 points à 73,1% et 2,2 rebonds pour 8,9 d’évaluation en 19 minutes.

John Shurna (photo : Dorian Brault – SIG)

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