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Nancy : Nick Pope reste, incertitude pour Marcellus Sommerville

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Après la nomination d’Alain Weisz à la tête de l’équipe professionnelle, l’heure est à la construction de l’effectif 2013/2014 du côté du SLUC Nancy. Le technicien marseillais a commencé par étudier au cas par cas la situation des joueurs sous contrat.

Photo : Éric Legrand

Arrivé l’été dernier en provenance du Havre, Nicholas Pope (notre photo) reste au SLUC et honorera son contrat. La situation est en revanche moins claire pour l’ailier-fort américain Marcellus Sommerville. Auteur d’une superbe saison (15,6 points et 6,9 rebonds de moyenne), l’ancien Manceau dispose d’une clause de sortie et peut donc quitter le club lorrain (moyennant finance), s’il le souhaite. Abdel Sylla, peu utilisé l’an passé (9 minutes de moyenne), souhaite lui partir.

« Marcellus Sommerville a une clause qui court une semaine après le dernier match des playoffs », précise Alain Weisz dans les colonnes de l’Est Républicain. « À ce jour, il ne l’a pas activée, mais il demeure une petite incertitude… Quant à Abdel Sylla, à qui il reste également un an de contrat, il a émis le souhait de partir. Or, à ce jour, aucun club ne nous a officiellement contactés. »

Rappelons que la clause dont bénéficient ces deux joueurs s’accompagne d’un montant que le club intéressé (ou le joueur lui-même) est tenu de verser au SLUC.

De son côté, Solo Diabaté, également encore sous contrat, souhaite tenter sa chance en NBA. Enfin, le jeune Benjamin Séné sera responsabilisé. Il sera le deuxième meneur du SLUC la saison prochaine, derrière un meneur américain.


Souffelweyersheim aimerait recruter Dzenan Kurtic

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Avec son statut de joueur de moins de 23 ans, Dzenan Kurtic (2,06 m, 20 ans) est logiquement demandé par bon nombre de clubs de Pro B concernés par la règle des jeunes. Après avoir découvert le championnat avec Denain (1,8 point à 33%, 1,4 rebond pour 2 d’évaluation en 7 minutes par match), l’ancien intérieur de Nancy ne devrait pas prolonger l’aventure avec l’ASCDV.

Et pour cause, La Voix du Nord révèle aujourd’hui que le vice-champion d’Europe Espoirs 2012 est notamment courtisé par Souffelweyersheim, tout juste promu en Pro B et qui doit donc recruter quatre joueurs de moins de 23 ans. Surtout, on imagine que Dzenan Kurtic n’est pas insensible aux avances du BCS, lui qui est originaire de Strasbourg. Soit à moins de dix kilomètres de Souffel.

Photo : ASC Denain-Voltaire

Georges Mdivani quitte Rueil pour Montbrison (NM1)

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Après deux saisons à Rueil, le pivot cubique Georges Mdivani (2m02, 26 ans) a signé chez le promu Montbrison (NM1). Le Géorgien, ancien Espoirs à Pau-Orthez (2001/02) puis joueur de Mirecourt, du GET Vosges (2004/05) et de Calais a été très performant en 2011/12 (11,5 points à 54,9% et 6,4 rebonds pour 13 d’évaluation) mais beaucoup moins en 2012/13 (6,6 points à 45,7% et 5,7 rebonds pour 6,8 d’évaluation en 20 minutes).

Georges Mdivani (photo : Tuan Nguyen)

Serbie : Joffrey Lauvergne et Léo Westermann à une victoire du titre

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Qualifié sans encombre pour la finale du Championnat serbe, le Partizan s’attaquait cette fois-ci à un plus gros morceau : l’Etoile Rouge. Pourtant, mercredi soir lors du match 1, le club des deux joueurs tricolores avait parfaitement entamé la série au meilleur des cinq matches. Face à une équipe en manque d’adresse (32% aux tirs), à l’image de l’ex-Choletais DeMarcus Nelson (10 pts à 2/7), le Partizan s’est offert un succès plein. Menant de bout en bout, et malgré un retour bien maitrisé de l’ennemi juré dans le troisième quart-temps, il a marqué les esprits en alignant un cuisant 22-3 dans les huit dernières minutes du match.

Une large victoire (82-54) au cours de laquelle Léo Westermann a éprouvé quelques difficultés : 0 point (à 0/3 aux tirs), 3 passes, 1 rebonds et 4 balles perdues pour -5 d’évaluation en 25 minutes. Joffrey Lauvergne, lui, s’est contenté de 4 points (à 2/4), laissant le scoring aux serbes Dragan Milosavljevic (28 pts à 11/19) et Vladimir Lucic (19 pts à 7/11). Mais il a livré une nouvelle partie précieuse (8 rbds et 4 fprs), permettant notamment à son équipe de dominer le rebond (38-24).

La joie de Joffrey Lauvergne et de ses coéquipiers (photo : Košarkaška liga Srbije - www.kls.rs)

La joie de Joffrey Lauvergne et de ses coéquipiers (photo : Košarkaška liga Srbije – www.kls.rs)

Ce vendredi soir, dans une même Hala Pionir volcanique, les deux équipes remettaient le couvert en inversant les rôles. Presque contraint à la victoire, le Crvena Zvezda oppose une plus grande résistance et domine la première partie du match (37-24 à la 16e ; 43-33 à la mi-temps). Mais grâce à deux tirs primés de son facteur X letton Davis Bertans (13 pts à 3/7 et 6 rbds), le Partizan revient dans le match (49-46 à la 27e). En tête depuis la 8e minute de jeu, DeMarcus Nelson (9 pts à 2/7, 8 pds, 6 rbds, 3 int, 6 bps et 6 fprs) et consorts tiennent tête à leur adversaire à l’entrée du money-time.

Mais les deux Alsaciens vont venir apporter leur pierre à l’édifice. Joffrey Lauvergne (7 pts à 3/5 et 3rbds) d’un 2+1 à 5 minutes de la fin pour ramener son équipe à un point (56-55). Et Léo Westermann (4 pts à 1/3 et 4 bps), peu en vue jusqu’ici, pour égaliser tout d’abord à 59-59 (36e). Puis pour lancer le coup de collier fatal à l’Etoile Rouge en rentrant ses deux lancers dans l’avant-dernière minute (66-64). Et c’est Davis Bertans qui l’enterrera grâce à cinq points de suite dans les dernières secondes, dont un gros tir primé sur un caviar de l’ex-Villeurbannais, son seul du match (67-69). Leurs coéquipiers assureront sur la ligne pour parachever ce deuxième succès dans la série (69-71).

Davis Bertans, décisif lors du match 2 (photo : Košarkaška liga Srbije - www.kls.rs)

Davis Bertans, décisif lors du match 2 (photo : Košarkaška liga Srbije – www.kls.rs)

Lauvergne, Westermann et le Partizan sont donc à une victoire d’un douzième titre d’affilée depuis 2001-02. Pour Nelson et l’Etoile Rouge, il semble désormais bien compliqué de renouer avec un titre de champion qui leur échappe depuis 1997-98. Troisième (et dernier ?) match ce lundi à 19h.

Magali Mendy signe à Chartres (LF2)

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Promu en Ligue 2 Féminine, l’AB Chartres continue son recrutement pour la saison prochaine. Afin d’être compétitive, la formation d’Alain Boureaud a engagé, via l’Echo Républicain, l’ailière Magali Mendy (1m75, 23 ans) qui était sans club pour 2012/2013 suite au dépôt de bilan de l’Étoile de Voiron en début de saison. C’est un atout supplémentaire pour Chartres puisqu’elle sera considérée comme non-mutée n’ayant pas joué en 2012/2013.

C’est la troisième recrue du club après les arrivées de la meneuse Lindsay Gonzalez et de l’intérieure américaine Marie Rosché.

Photo : Reims Basket

Aymeric Jeanneau : « Je ne pense qu’à gagner le trophée, c’est tout »

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Ce samedi soir, Strasbourg a la pression. En cas de défaite, la SIG perdrait une deuxième finale cette saison et ne serait pas championne. Le capitaine de l’équipe, Aymeric Jeanneau, en a parfaitement conscience.

« Maintenant, ça devient effectivement quelque chose de très compliqué à faire ! On sait néanmoins que c’est possible de venir gagner à Coubertin », estime-t-il, comme il l’a annoncé hier soir en conférence de presse (propos recueillis par Christophe Remise de Sport24). « Mais ça devient compliqué, c’est vrai. Ils ont leur euphorie, leur salle, leur façon de jouer, leur envie et leur détermination pour eux. C’est le match qui peut leur permettre d’accéder au titre de champion. Ce sera très compliqué, on le sait. Mais on ne refuse pas le défi. En partant de Strasbourg, après le deuxième match, on savait qu’il nous faudrait gagner au moins une rencontre à Paris. Celle-là est forcément encore plus capitale que le précédent. On est là pour ça. »

En cas de défaite, cette rencontre serait aussi la dernière de sa carrière professionnelle.

« Il n’y a qu’un match où je serais certain que ce serait le dernier, c’est l’éventuelle cinquième manche de la série. Les autres, non. Et je ne pense pas du tout à la fin de ma carrière. Je suis concentré sur la quête du titre. Je suis vraiment dans cette disposition-là. Ce n’est pas quelque-chose qui me perturbe actuellement. Si je ressens une émotion particulière ? Sincèrement non. Je ne pense qu’à gagner le trophée, c’est tout. »

Aymeric Jeanneau (photo : Dorian Brault – SIG Basket)

Poitiers : Pape Badiane indisponible entre quatre et six mois

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Comme annoncé, Pape Badiane (2m07, 33 ans) s’est fait opérer du poignet. Le coach du PB86, Rudy Nelhomme (41 ans) l’a confirmé à La Nouvelle République.

« Pape Badiane a été opéré du poignet et devrait être indisponible entre quatre et six mois. Il faut voir comment cela va évoluer. »

Cette saison, le natif de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) a disputé 30 rencontres. Le vainqueur de la Coupe de France 2009 a tourné à 3,9 points (39% aux tirs), 4 rebonds, 0,8 passe et 1,3 balle perdue pour 5,8 d’évaluation en 22 minutes. Le Francilien est toujours sous contrat avec le club de la Vienne pour l’année prochaine. S’il venait à manquer six mois de compétition, il devrait rater la préparation ainsi que le début du saison du PB 86.

Photo : Tuan Nguyen

Championne de France 2013, la JSF Nanterre à jamais dans l’histoire !

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Est-ce l’un des plus grands exploits de l’histoire du basket français ? On n’en est pas loin. De la Pro A ? Sans aucun doute. La JSF Nanterre est allée au bout de son rêve. Parti du plus bas niveau départemental en 1987, le club francilien est aujourd’hui au sommet du basket hexagonal, la nouvelle place forte de la Pro A. Historique.

Photo : Claire Macel

Des derbys de Hauts-de-Seine du dimanche matin à l’Euroleague, onze montées, zéro relégation, voilà le parcours exceptionnel qu’a accompli Pascal Donnadieu à la tête de la JSF. L’histoire relève d’un conte de fées, presque de l’irréel. Mais pourtant, Nounours, tel qu’il est désormais surnommé par ses joueurs, a bien écrit l’une des plus belles pages de l’histoire du sport français.
Au delà de la montée en puissance exceptionnelle de Nanterre depuis plus de deux décennies, qui aurait encore misé un euro sur le club banlieusard au début de saison ? Avant-dernier budget du championnat avec 2,6 millions d’euros, promue dans l’élite il y a deux ans, la JSF s’attendait à souffrir et à lutter pour le maintien. Mais aujourd’hui, contre toute attente, c’est bien l’équipe nanterrienne qui inscrit son nom au palmarès de la Pro A ! Un exploit sans précédent à la hauteur de la qualité du jeu proposé par le groupe de Pascal Donnadieu.
Immense. Colossale. Les superlatifs manquent pour décrire la portée de la performance réalisée par la JSF. Aujourd’hui, Nanterre est la meilleure équipe de France. 26 ans après être parti du bas de l’échelle, le club francilien se retrouve sur le toit du basket français.

Nzeulie, le héros ! (photo : Claire Macel)

Pourtant, la SIG a longtemps cru pouvoir se mettre en travers de l’inévitable sacre nanterrien. Galvanisés par l’énorme enjeu de ce Match 4, win or go home, les Alsaciens ont attaqué la rencontre tambour battant. Avec les deux frères Greer au four et au moulin, Strasbourg s’est vite échappé (9-19, 9e minute). Mais sans s’affoler outre mesure de ce début de match raté, la JSF a vite su refaire son retard dans le sillage du trio Nzeulie – Judith – Lighty qui a passé un 13-0 aux visiteurs (22-19, 12e minute).
Sur un nuage, les deux extérieurs français ne se sont pas arrêtés là. Bien au contraire. En enquillant les actions de hautes volées, la JSF a peu à peu creusé l’écart (35-25, 17e minute) sur les ailes de son infernal duo. Mais, profitant d’une baisse de régime francilienne et de l’excellent passage de Romain Duport, la SIG est parvenue à revenir au contact juste avant de revenir aux vestiaires (40-36, mi-temps).

Incapable de scorer de loin, les hommes de Vincent Collet misent tout sur leurs intérieurs. Alexis Ajinça démarre bien le troisième quart-temps, Ricardo Greer vient au soutien de son pivot mais les deux compères restent trop seuls. Nanterre en profite pour continuer à faire la course en tête : David Lighty est en démonstration et maintient l’écart avant que le facteur X Jérémy Nzeulie ne rentre à nouveau en scène pour enflammer Coubertin. Et quand Chris Warren marque au buzzer, la JSF a une main sur le trophée de champion de France.

Photo : Claire Macel

Le début de quatrième quart-temps fait définitivement basculer le match dans l’irrationnel : touché par la grâce, Jérémy Nzeulie enfonce Strasbourg. Rien ne peut arriver à Nanterre croit-on alors (68-54, 33e minute). Mais, au courage, Strasbourg parvient à grignoter son retard et à remettre une énorme pression sur la JSF (70-68, 36e minute). Nanterre retrouve toutefois son adresse au meilleur moment : pendant que la SIG oublie de défendre, Stephen Brun et David Lighty enchaînent deux tirs primés décisifs pour redonner confiance à tout un peuple (76-68, 37e minute). Les Alsaciens ne reviendront pas. Dans un Coubertin en fusion, la JSF maîtrise le money-time et remporte cette Pro A 2012-2013 (83-77, score final). Tout simplement énorme. La nuit va être longue à Paris.

Les champions de France 2013 : Chris Warren, Trenton Meacham, Xavier Corosine, Jérémy Nzeulie, Marc Judith, David Lighty, Chris Oliver, Stephen Brun, Johan Passave-Ducteil, Juan Palacios, Charles Jackson, Jerry Boutsiele, Pascal Donnadieu, Franck Le Goff, Jean Donnadieu, l’ensemble du staff technique et des dirigeants ainsi que Seidou N’Joya, Rashaun Freeman, Chris Massie et Mamoutou Diarra, passés par la JSF au cours de cette saison.

Photo : Claire Macel


David Lighty élu MVP de la finale de Pro A

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Son histoire vaut aussi le détour. Magnifique joueur de basket, David Lighty a vécu une saison des plus agitées du côté de Nanterre. Irréprochable sur le terrain, l’ancien joueur d’Ohio State a eu la douleur de perdre sa maman pendant l’année. Une tragédie qui lui a valu de retourner deux fois chez lui et de passer près d’un mois au total aux États-Unis.

Mais le natif de Cleveland s’est servi de ce drame pour avancer et a régné sur la fin de saison. Précieux contre Gravelines en quart de finale, monstrueux pour éliminer Chalon en demi-finale (33,5 d’évaluation), David Lighty a ensuite su amener Nanterre au bout de son rêve. Exceptionnel lors du dernier match (21 points à 7/13, 3 rebonds, 2 passes et 2 interceptions pour 19 d’évaluation), ce parfait gentleman a cumulé 12,5 points à 50%, 2,8 rebonds, 2,8 passes et 2 interceptions contre Strasbourg. Assez pour recevoir le titre de MVP de la finale. Où qu’elle soit, sa maman peut être fier de lui.

Photo : Twitter David Lighty

 

Aymeric Jeanneau, le départ d’un grand

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Il ne terminera pas sa carrière sur un trophée mais il peut sortir par la grande porte. Encore irréprochable ce soir à Paris (10 points à 3/7, 1 rebond, 4 passes pour 10 d’évaluation en 24 minutes), Aymeric Jeanneau a dû déposer les armes face à la magie francilienne. Pourtant, Foxy aurait mérité de conclure sur le toit du basket français.

Joueur emblématique de la Pro A, le Strasbourgeois a tout gagné en France. Bien connu sur les parquets pour son style de jeu à l’ancienne, le natif de La Roche-sur-Yon a aussi séduit tous les observateurs par sa gentillesse et son extrême disponibilité. Une personnalité bien caractérisée par sa dernière interview télévisée sur Sport+, des propos emplis de classe pour saluer le sacre de Nanterre.

Si la Pro A perd l’un de ses ambassadeurs, nul doute que le basket français pourra continuer à bénéficier des savoir-faire d’Aymeric Jeanneau dans le futur. En attendant, il peut raccrocher les baskets avec le respect de tous.

Sa carrière :

  • 1985-1992 : Saint-Fulgent
  • 1992-2003 : Cholet
  • 2003-2004 : Le Havre
  • 2004-2006 : Strasbourg
  • 2006-2010 : ASVEL
  • 2010-2013 : Strasbourg

Son palmarès :

  • 56 sélections en Équipe de France (Mondial 2006, Euro 2009)
  • Médaillé d’argent au championnat d’Europe juniors 1996 en Lituanie
  • Sélection au All Star Game Espoir 1997 et 1998
  • Vainqueur de la Coupe de France en 1998, 1999 et 2008
  • Champion de France en 2005 et 2009
  • Match des Champions 2009
  • Semaine des As 2010

Aymeric Jeanneau, champion de France 2005 (photo : SIG Basket / LNB)

Vidéo : La remise du trophée de champion de France à Nanterre

EdF (F) : Les Bleues s’imposent dans la douleur contre la Turquie (63-58)

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Samedi soir à Evry, l’équipe de France féminine a été mise en difficulté par la Turquie, équipe qui les avait battu en demi-finale de l’EuroBasket 2011 après prolongation.

Les joueuses de Pierre Vincent ont mené la quasi intégralité de la rencontre mais n’ont jamais réussi à se détacher. Au final, elles ont assuré l’essentiel en s’imposant de 7 points (65-58).

Sandrine Gruda a été à l’image de son équipe. C’est à dire maladroite (14 points à 6/19, 39% pour toute l’équipe), dispendieuse (3 balles perdues, 19 au total) mais a dominé au rebond (12 prises, 36 à 23 pour les Bleues).

A noter qu’au cours de cette rencontre, Edwige Lawson-Wade (4 points à 2/4 en 14 minutes) a fêté sa deux-centième sélection.

Demain à 16 heures, toujours aux Arènes de l’Agora d’Evry, les Françaises affronteront l’Espagne.

Sandrine Gruda (photo : Olivier Martin)

Pascal Donnadieu : « Il faudra du temps pour réaliser »

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Samedi soir, la JSF Nanterre a remporté le premier titre de champion de France de son histoire en s’imposant lors du match 4 contre Strasbourg (83-77). Pascal Donnadieu, entraîneur de la JSF depuis 1987, était forcément très ému (propos recueillis par la LNB).

« J’ai du mal à réaliser. Il faudra du temps. Je m’étais fixé comme objectif de ne pas penser à ce titre pour rester concentré sur le terrain. En début de saison, on a perdu les deux premiers matchs, et on ne pouvait pas imaginer ça. Ce qui me rend le plus fier, c’est l’histoire du club, la communion avec le public. Ça fait plus d’un mois qu’on vit comme dans un rêve. Les deux matchs à Coubertin ont été exceptionnels. J’ai eu le sentiment qu’on avait gagné grâce au jeu et la qualité du collectif. Pour un coach, c’est forcément une grande satisfaction. Je voulais rendre aussi hommage à Aymeric Jeanneau, qui a fait une grande carrière, et qui avait des valeurs. »

Pascal Donnadieu avec Johan Passave-Ducteil (photo : Claire Macel)

Officiel : David Mélody prend sa retraite

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Comme prévu, David Mélody prend sa retraite. L’arrière clermontois a trouvé un accord avec son employeur, la JDA Dijon, annonce Le Bien Public. Il lui restait un an de contrat. Reste à savoir désormais s’il continuera à jouer chez lui, à Clermont-Ferrand, au niveau semi-professionnel (Stade Clermontois en NM2 ?), amateur ou s’il arrêtera complètement.

L’ancien All Star (2009), âgé de 36 ans, a joué 225 matchs en Pro A et 80 en Pro B. Passé par Clermont-Ferrand, Vichy, Saint-Etienne et Dijon, il a remporté le titre de champion de France NM1 en 2002 et celui de Pro B en 2004 et 2007.

photo : Sébastien Meunier

Edwige Lawson-Wade a atteint les 200 sélections en Bleue

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Samedi soir à l’occasion de France – Turquie à Evry (63-58), Edwige Lawson-Wade a fêté sa deux-centième sélection en équipe de France féminine A. Elle a marqué 4 points à 2/4 en 14 minutes. Pour rappel, elle prendra sa retraite à l’issue de l’EuroBasket féminin.

Elle a disputé son premier match en équipe de France le 22 avril 1998 à Colmar contre l’Allemagne. Elle avait alors 18 ans.

Edwige Lawson-Wade (photo : Olivier Martin)


Vincent Collet : « Mon vrai regret dans cette finale, c’est le deuxième match »

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Strasbourg a perdu la deuxième finale de sa saison en s’inclinant trois victoires à une contre la JSF Nanterre. A l’issue du match 4, remporté 83-77 par les Franciliens, Vincent Collet a donné son analyse sur la rencontre (propos recueillis par la LNB).

« On a deux secteurs déficitaires. Les pertes de balle. 19, c’est rédhibitoire. Ensuite, c’est l’absence de paniers à trois-points. Mais même dans la difficulté, on est revenu deux fois dans le match. On a su se battre tout au long du match. Mon vrai regret dans cette finale, c’est le deuxième match. On avait l’occasion de s’imposer et on n’a pas su le faire. C’est vendredi dernier qu’on a abondonné ce titre, et qu’ils l’ont gagné. Aymeric a fait un très bon match. On voulait qu’il finisse sur une grande victoire. Ce n’est pas le cas, mais il termine sa carrière sur une belle saison. Je ne doute pas qu’il réussira dans sa deuxième carrière. »

Vincent Collet avec le président de la SIG Martial Bellon (photo : Dorian Brault – SIG Basket)

Votez pour le nouveau logo de la SIG

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Quelques jours après la déception de la défaite en finale des playoffs de Pro A face à Nanterre, la SIG continue d’aller de l’avant. Pas de recrues ou de grands chamboulements en vue pour l’instant, puisque le club prône la continuité. Le changement est à chercher d’un point de vue marketing, avec un nouveau logo à venir.

Pour cela, un comité de huit personnes issues de la section professionnelle de la SIG (dont le président Martial Bellon et le coach Vincent Collet) et de la section amateur, verront leurs voix compter pour 50 pour cent. Les 50 autres pour cent proviendront du vote des internautes. Pour cela, vous avez jusqu’au 18 juin à 18 heures pour donner votre préférence à l’un des trois logos proposés, en vous rendant sur le site de la SIG en cliquant ici.

logo sig

L’ASVEL a offert un contrat de deux ans à Alex Acker

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Meilleur joueur de l’ASVEL en quart et en demi-finale des playoffs de Pro A, quelques jours après son arrivée au club, Alex Acker (30 ans, 1m96) n’a pas tardé à convaincre le staff villeurbannais de le conserver. L’ailier américain est ainsi la priorité du club. Pierre Vincent, le coach, l’a fait savoir au joueur après la défaite à Strasbourg, qui mettait un terme à la saison de l’ASVEL. Acker, qui nous avait confié son souhait de rester à Villeurbanne, a depuis obtenu une proposition de contrat de deux ans.

« Et comme les deux parties ont envie de continuer à travailler ensemble on peut dire que c’est en bonne voie », confie Pierre Vincent dans les colonnes du Progrès.

En cinq rencontres de playoffs, Alex Acker a tourné à 14 points (à 53% au tir), 4,4 rebonds et 2,2 passes pour une évaluation moyenne de 16,6.

Photo : ASVEL Basket

Florian Ayivi signe à Grande-Synthe (NM2)

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La Voix du Nord annonce que l’union Bourbourg – Grande-Synthe (NM2) vient d’engager le Franco-Togolais Florian Ayivi (1,97 m, 30 ans). Ce poste 4 arrive tout droit de Calais où il jouait en Nationale 2. L’ancien joueur de Denain est la première recrue du club nordiste. L’année prochaine, l’UBGS (qui vient d’obtenir son ticket pour la NM2) gardera une grande partie de son effectif. En effet, le quotidien précise que Mehdi Dridi, Anthony Prugnières, Abdel Hadid, Benoît Seigneur, Quentin Wadoux et Christophe Decalf ont prolongé leurs contrats. Les seuls Bourbourgeois à partir sont Cédric Dutriaux (Loon-Plage, en région) et Reynald Laurent pour son ancien club, Ardres (Nationale 3).

Florian Ayivi

Panagiotis Giannakis déterminé à rester à Limoges

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Alors qu’un flou total règne sur le Limoges CSP actuellement, une seule chose est sûre : Panagiotis Giannakis compte bien rester l’entraîneur de l’équipe limougeaude. Tout en démentant la rumeur annonçant son départ de la sélection chinoise, l’attaché de presse du Dragon a martelé l’envie de son client de demeurer à Beaublanc au micro de France 3 Limousin :

« Giannakis a déclaré qu’il n’a aucune intention de ne pas honorer son contrat, à plusieurs reprises au cours des deux derniers mois. Giannakis est un homme de parole qui cherche une solution, pas à créer un problème. Il n’y a donc aucune raison de vous poser cette question. L’entraîneur a pris l’engagement que le Limoges CSP retrouve un rang européen pendant la durée de son contrat, et il est toujours concentré sur cet engagement, malgré toutes les difficultés qui apparaissent brusquement sur son chemin. »

Photo : Tuan Nguyen

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