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EdF (M) : France – Serbie à guichets fermés

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En fin de semaine, de jeudi à samedi, Antibes accueille un tournoi à trois en vue de préparer l’EuroBasket qui va débuter dans trois semaines en Slovénie. Seront réunies dans le sud de la France les équipes nationales de la France, de la Serbie et de la Géorgie. Voici le programme :

  • 15 Août à 20h00 : France – Serbie
  • 16 Août à 20h30 : Serbie – Georgie
  • 17 Août à 20h30 : France – Georgie

La rencontre prévue jeudi soir face à la Serbie se jouera à guichets fermés, devant près de 5000 personnes dans la toute nouvelle salle d’Antibes, l’Azur Arena Antibes.


Nikola Antic : « Être champion de Pro B »

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En fin de semaine dernière, le Champagne Châlons Reims Basket a repris les chemins des parquets pour préparer une nouvelle saison en Pro B. En effet, après avoir réalisé une magnifique saison l’an passé et ainsi atteint la finale du championnat de France, Nikola Antic vise encore plus haut pour l’exercice qui arrive. Le coach veut emmener son titre au titre suprême. C’est ce qu’il a expliqué dans un reportage vidéo réalisé par l’Union.



Antoine Mendy : « J’avais envie de voir autre chose »

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Joueur emblématique de l’Élan Béarnais où il a joué six saisons, Antoine Mendy a tourné une page majeure de sa carrière en quittant le club du Sud Ouest après six saisons afin de s’engager dans un nouveau projet avec la JDA Dijon. Fidèle à Pau-Lacq-Orthez malgré deux relégations ces dernières années, l’ancien All Star n’a jamais quitté le navire dans les périodes difficiles, participant activant aux remontées du club dans l’élite. Désireux de changer d’air et de s’investir dans un nouveau projet, le joueur passé par la Suisse (Boncourt) explique ainsi au Bien Public sa vision positive vis-à-vis de ses longues années paloises.

« Quand je me lance dans une aventure, j’aime bien ne pas échouer. Beaucoup de joueurs qui sont arrivés à Pau partaient au bout d’une seule saison. Je voulais vraiment réussir là-bas et gagner des titres. J’ai duré dans une grosse écurie et je suis assez satisfait de mon passage à l’Elan », considère l’ancien Rémois.

A la suite d’une belle saison en Pro B lors de laquelle il a vécu une deuxième ascension avec l’EBPLO, le Parisien de naissance estime avoir bouclé la boucle et souhaitait se projeter dans une nouvelle aventure sportive. Signataire d »un contrat pluriannuel, Mendy explique son désir de changement tout en affirmant être serein concernant la concurrence sur les postes extérieurs et sa place dans le groupe.

« On peut être complémentaire et bien se partager le temps de jeu. Je suis un joueur au profil assez défensif et je pense que c’est en grande partie pour cela que je suis venu jouer à Dijon avec Jean-Louis Borg [...] J’ai eu le coach au téléphone à plusieurs reprises. Après six saisons, j’avais envie de voir autre chose. En tant que sportif, on a la possibilité de voyager, de changer de ville et de connaître différentes régions », explique le néo-Dijonnais. 

Antoine Mendy (Photo : Seb-G)

Antoine Mendy (Photo : Seb-G)

L’Elan Chalon dévoile son nouveau logo

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Voici le nouveau logo de l’Élan Chalon, tout juste dévoilé par le club champion de France 2012. Après les changements concernant l’aspect sportif avec l’arrivée de Mickaël Hay à la tête de l’équipe, le club bourguignon évolue également sur son aspect visuel. On retrouve ainsi le rouge et le blanc, couleurs historiques du club ainsi que le slogan « Au-delà d’un club », symbole de la démarche citoyenne menée par le club. Cette nouvelle charte visuelle devrait rapidement être déclinée sur les différents supports du club.

Photo : Elan Chalon

Photo : Elan Chalon

Michel Morandais : « On compte beaucoup sur moi »

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A l’occasion des premiers entrainements de présaison, le nouvel ailier du CCRB Michel Morandais (1,95 m, 34 ans) s’est livré auprès de l’Union au sujet de sa saison dernière pour le moins particulière ainsi que de celle à venir dans la Marne. Joueur au CV impressionnant pour la Pro B, l’ex-Barcelonais a connu une année assez difficile sur le plan basket puisque n’ayant pas réussi à concrétiser les touches qu’il avait pu avoir lors de l’inter-saison, l’ancien extérieur du Paris-Levallois a décidé de rester sur son île natale de Guadeloupe afin de se ressourcer tout en jouant en amateur.

« En décembre, j’ai fait le choix de prendre une licence amateur au Phoenix 95 de Petit-Bourg, pour m’entretenir [...] J’en ai bien profité. La Guadeloupe, je l’ai quittée à 17 ans, j’en ai 34. Ma femme est de là-bas, ses parents aussi. Avec le Phoenix, on n’a pas accroché les playoffs mais s’ils avaient mieux démarré la saison (rires)… Une expérience sympa, petit barbecue chaque semaine, tout en faisant attention, bien sûr« , explique l’international tricolore.

Bien conscient de son rôle et des objectifs élevés de sa nouvelle formation, le nouveau joueur de Nikola Antic retrouve le monde professionnel avec envie et impatience à quelques semaines de la reprise officielle du championnat de Pro B.

« On compte beaucoup sur moi, mon expérience. Le CCRB vise la Pro A. Tout ça, je le sais. J’ai hâte que la saison commence. Une semaine avant la reprise, déjà, je piaffais d’impatience. Comme un écolier… », reconnait volontiers l’ancien nancéien.

Michel Morandais (Photo : Tuan Nguyen)

Michel Morandais (Photo : Tuan Nguyen)

Et toi Sammy Girma, que fais-tu pendant les vacances ?

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Tout juste signataire d’un contrat au Puy en Nationale 2 -, Sammy Girma (ex ASVEL, Clermont, Boulazac, Challans), qui mènera en parallèle des études en école de commerce à Lyon, répond à nos questions estivales.

Comment se passent tes vacances ?

Mes vacances se passent plutôt bien, je profite un max de mes proches, du beau temps. L’été c’est le meilleur moment pour profiter des personnes qu’on ne peut pas toujours voir quand on veut pendant l’année.

Qu’est ce que tu as fait ?

Sammy Girma (photo : Sébastien Meunier)

Je suis parti en vacances mais cette année je suis resté en France contrairement aux autres années ou je passais tout le temps quelques semaines aux Etats-Unis. Je suis principalement allé dans le sud de la France voir des amis ainsi que ma famille. Sinon je suis resté à Lyon la plupart du temps. J’ai aussi pris part au camp que mes agents ont mis en place encore une fois cet été à Lyon. C’était vraiment une bonne expérience, Stéphane Risacher nous a beaucoup fait avancer sur pas mal de petits détails qui font souvent la différence et que seuls les joueurs avec son expérience et sa carrière peuvent voir et transmettre.

Qu’as-tu de prévu pour la suite ?

Rien de bien spécial, continuer à me préparer pour la saison qui arrive au quotidien avec mes potes à Lyon, profiter de les voir avant que tout le monde s’éparpille un peu partout en France. Je vais surement dans une semaine aller finir ma préparation individuelle dans le Sud avec un de mes meilleurs amis, Axel Toupane. On va se pousser vers le haut mutuellement dans ces dernières semaines avant la reprise.

Que vas tu faire pour la reprise de l’entraînement ?

Sammy Girma avec Challans (photo : D.R.)

En réalité, je ne coupe pas vraiment avec le basket l’été. Il y a toujours quelqu’un qui propose d’aller jouer à droite ou à gauche, donc je joue au basket presque tout l’été. je dois peut être couper deux semaines maximum. J’ai vraiment recommencé à m’entraîner individuellement sans jouer à la mi-juillet. Donc là c’était plus sérieux, pas de jeu mais plus un travail axé sur la progression individuelle et un peu de travail physique bien sur.

Tu pratiques d’autres sports que le basket pendant les vacances ?

Franchement j’aime tous les sports, mais j’avoue que je ne pratique pas vraiment d’autres sports que le basket.

Qu’est ce qu’il faut le plus travailler l’été selon toi ?

L’été est le meilleur moment pour progresser individuellement, c’est là qu’on devient plus fort. Il faut bosser sur tous les aspects de son jeu, améliorer les points faibles et rendre les points forts encore plus forts.

Si on t’offre un billet d’avion, où voudrais-tu partir ?

Pour moi ce serait Miami ou Los Angeles.

Plage ou montagne ?

Plage l’été et montagne l’hiver.

Que faisais-tu petit quand tu partais en vacances ?

Je passais la plupart de mes vacances dans le Sud vers Béziers avec mes cousins. Ce sont que des bons souvenir avec mes parents, mes grand parents etc. J’y retourne encore tous les étés mais beaucoup moins longtemps.

L’intersaison est-elle trop courte ou trop longue ?

Je pense que l’intersaison est trop longue si on ne la met pas à profit correctement. Si on utilise bien le temps qu’on nous donne elle est parfaite.

La reprise, hâte ou pas hâte ?

Vraiment hâte de relever ce nouveau challenge (avec Le Puy) qui se présente devant moi !

Euro U16 (M) : La France jouera sa qualification contre l’Ukraine

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En s’inclinant ce soir face à la Croatie (69-78), la France s’apprête demain à disputer un véritable huitième de finale. En effet, face à l’Ukraine (20h), les Bleus n’auront d’autre choix que de l’emporter, le vainqueur de cette confrontation étant qualifié pour les quarts-de-finale, le perdant éliminé.

Pour revenir à la rencontre d’aujourd’hui, les partenaires de Stéphane Gombauld (17 pts, 3 rbds) n’ont jamais su se relever après leurs mauvais départs à chaque entame de mi-temps. Relégués à 10 points après 8 minutes (6-16) et à 15 (48-63) après 28 minutes, les hommes de Bernard Faure ont continuellement couru après le score. Dominés dans tous les secteurs du jeu, ils s’inclinent logiquement face à une équipe croate emmenée par Lovro Mazalin (19 pts, 7 rbds, 3 pds). Si cette rencontre aurait pu encore leur permettre de décrocher la troisième place, la défaite les condamne, en cas de qualification, à la 4ème place. Encore faudra-t-il s’imposer demain face à l’Ukraine.

Photo : FIBA Europe

Le cahier des charges des finales de Pro A fait débat

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Comme chaque année, pour tous ses événements à venir, la Ligue Nationale de Basket (LNB) réalise un cahier des charges. S’il existe des éditions précédentes de ces événements, elle apporte régulièrement des modifications aux nouveaux cahiers des charges. Des modifications parfois importantes, parfois pas. C’est notamment le cas sur son produit phrase : les finales de Pro A. Celles-ci se jouent désormais au meilleur des cinq rencontres et non plus en un seul match, comme entre 2005 et 2012.

Coubertin lors de l’épisode 3 des finales de Pro A 2013 (photo : Claire Macel)

Pour la première édition sur ce format, au mois de juin 2013, l’organisation a été, de l’avis de tous, réussie. Des belles finales entre Strasbourg et Nanterre dans deux salles pleines et chaudes avec une organisation bien maîtrisée et complète. Les pressions exercées sur la JSF Nanterre ont été vite oubliées au vu du succès rencontré par le club, aussi bien sportivement qu’avec son public au Stade Pierre de Coubertin.

Très peu de modifications importantes ont été apportées au cahier des charges pour les finales de Pro A 2013/14. Mais quelques points de règlement font débat cette année alors qu’ils étaient déjà présents pour dans le cahier des charges des finales de Pro A 2012/13. Des points assez techniques sur le partage du financement de l’organisation.

Ainsi, la LNB se charge des coûts suivants :

  • Création de la charte de communication de l’événement
  • Plan de communication national (programmes, affichage, annonces presse, spots TV…)
  • Habillage du parquet / Remise en état du parquet
  • Les frais techniques relatifs aux contrats de partenariat signés à cette occasion (LED, goodies…)
  • Tous les frais relatifs aux animations et protocoles (pom pom , squad, speakers…)
  • Pilotage et intervention éventuelle du prestataire organisateur

De son côté, les clubs finalistes devront s’occuper et financer les aspects suivants :

  • Sécurité
  • Aménagement du cocktail VIP
  • Frais de location de l’infrastructure
  • Habillage raquettes en bichromie et harmonie visuelle avec la charte graphique de l’événement
  • La mise en configuration des espaces afin qu’ils correspondent aux normes imposées dans ce présent cahier des charges (espaces presse, VIP…)
  • Afin de permettre à la LNB d’organiser ces Finales dans les meilleures conditions, un forfait de 7 500€ HT hors frais d’arbitrage par match effectué au cours des Finales sera versé par le club hôte
  • En cas de match 5, le club hôte prendra en charge les frais d’hébergement du club visiteur (2 nuitées maximum)

L’occupation d’espaces publicitaires potentiels sur l’habillage du parquet, les écrans géants et les animations LED (les panneaux lumineux autour du terrain) seront en partie réservés à la LNB. De plus, les finales sont des matches télévisés améliorés avec quelques espaces supplémentaires ajoutées par et pour la LNB.

Ces derniers points sont précisément ceux qui font débat cette année alors que la JSF Nanterre et Strasbourg les ont respectés au mois de juin sans émettre de critiques. Il est nécessaire de rappeler qu’avant 2013, la LNB était la seule organisatrice de la finale de Pro A puisque celle-ci se déroulait sur un terrain neutre, au Palais Omnisports de Paris Bercy. Si les coûts lui étaient uniquement réservés, c’était aussi le cas des recettes. La LNB, qui a besoin de fonds pour organiser au mieux ses événements, continuera de mettre la main à la poche pour l’organisation des finales de Pro A mais aura elle aussi droit à toucher des recettes.

Pour lire le cahier des charges des finales de Pro A 2013/14, cliquez ici.


Amical : Souffel balaye Gries (76-35)

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Pour son premier match de la saison, Souffelweyersheim (Pro B) affrontait le club voisin de Gries-Oberhoffen (NM2). Deux clubs rivaux qui n’évoluent plus au même niveau. Et ça s’est vu puisque Souffel a explosé Gries (76-35) et ce dès le premier quart temps (25-12). Stéphane Eberlin en a profité pour faire tourner. Les douze joueurs inscris sur la feuille de marque ont mis des points et seuls Jessie Begarin et Abdoulaye N’Diaye ont terminé en double figure (10 points chacun).

Finale Final Four-00412 (1)

Vidéo : « Blue Avengers », un mix sur l’équipe de France

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Deux jeunes internautes nous proposent une série de mixes appelée  »Blue Avengers » consacrée à l’équipe de France. Voici le premier :

Amical : Orchies explose Boulogne (86-63) avec un énorme Vincent Grier

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Deux matches, deux victoires. Le BC Orchies a bien débuté sa phase de préparation. Après avoir battu le SPO Rouen, les hommes de Philippe Namyst ont mis 23 points (86-63) au SOMB qui jouait là son premier match amical avant l’Eurojam. Boulogne-sur-Mer, après seulement deux entraînements collectifs, n’était pas au complet.

La dernière recrue du BCO, Vincent Grier, a été ultra complet avec 14 points à 5/6, 10 rebonds et 5 passes décisives pour 30 d’évaluation en 21 petites minutes.

A noter qu’il y avait 1 200 personnes pour cette rencontre amical. Encore un signe de l’engouement qui existe autour d’Orchies pour le promu en Pro B.

Jamie Skeen (ex ASVEL) proche de l’Italie

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Véritable star universitaire à l’époque où il évoluait à VCU, Jamie Skeen (2,05 m, 25 ans) avait d’ailleurs mené les siens au Final Four NCAA en 2011 où l’équipe de Virginia Commonwealth s’était inclinée face à Butler en demi-finale. Ayant essuyé un échec lors de la Draft de cette même année, l’ailier-fort avait traversé l’Atlantique afin de lancer sa carrière professionnelle à l’ASVEL. Décevant lors de ses premiers mois dans le Rhône (3 points et 1,3 rebonds pour 1,9 d’évaluation en 11 matchs), l’Etats-Unien avait été coupé en cours de saison par les dirigeants lyonnais.

Ayant rapidement rebondi en Israël, où il s’est refait une santé , le natif de Charlotte a livré une saison et demi de bonne qualité (11,6 points et 4,7 rebonds pour 11,9 d’évaluation cette saison avec le Maccabi Ashdod). Ces prestations de qualité ont d’ailleurs attiré l’attention de la formation italienne de Sutor Montegranaro puisque Sportando indique que des négociations sont en cours entre les deux partis. La saison passée, le club de la province de Fermo a terminé à la 13e position de LegA et tentera une nouvelle fois de se maintenir dans l’élite la saison prochaine grâce au renfort espéré de Jamie Skeen.

Jamie Skeen (Photo : Jonathan Daniel)

Jamie Skeen (photo : Jonathan Daniel)

Arvydas Eitutavičius (ex Cholet) de retour en Lituanie

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(Photo : Eurocup)

Arvydas Eitutavicius (photo : Eurocup)

Un temps annoncé à Nanterre en début de la saison dernière, Arvydas Eitutavicius (1,88 m, 31 ans) n’aura finalement pas fait son come-back en France puisque le meneur lituanien avait rejoint Anwil en Pologne. Nouveau changement de destination cet été pour l’ancien meneur choletais puisqu’il prend la direction de Neptunas en Lituanie comme l’indique le site Eurobasket.

Après un cursus universitaire aux États-Unis à l’American University, ce natif de Klaipeda avait navigué entre les divisions mineures espagnoles et le championnat de son pays natal. En 2009, il rejoint Cholet en tant que back-up de John Linehan avec qui il remporte le titre de champion de France. Cette année-là, Eitutavicius avait compilé 6,6 points, 1,5 rebond et 1,8 passe pour 5,1 d’évaluation en 33 matches (saison régulière, playoffs et semaine des As cumulées). Par la suite, l’ancien joueur du CB avait évolué en Grèce, en Ukraine ou encore en République Tchèque.

 A 31 ans, celui qui valait encore 7,1 points et 1,5 passe la saison dernière en Pologne effectue son retour au bercail puisque le meneur vétéran avait déjà évolué dans le club lituanien il y a quelques années.

 

Jacob Pullen s’engage avec Barcelone

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Barcelone tient désormais son meneur de jeu pour la saison prochaine en la personne de Jacob Pullen (1,85 m, 23 ans) qui s’est officiellement engagé avec les blaugrana, annonce le site du club. Très gros joueur universitaire lors de son cursus à Kansas State (20,2 points, 2,9 rebonds et 3,7 passes décisives lors de son année senior), le natif de l’Illinois n’a pas eu sa chance en NBA et s’est donc tout naturellement tourné vers le vieux continent il y a maintenant deux ans.

Un temps en contact avec Dijon en 2011 – qui lui avait une offre qu’il a décliné avant de proposer un contrat plus important à Bobby Dixon -, son parcours européen s’est jusque-là partagé entre l’Italie et l’Israël où le natif de l’Illinois s’est toujours montré performant. Le joueur états-unien au passeport géorgien a d’ailleurs réalisé une fin de saison de très bonne facture avec la Virtus Bologne (renommée Oknoplast Bologne), tournant à 22,4 points et 1,9 passe pour 17,3 d’évaluation en moyenne. Ses bonnes performances ont permis à l’ancien coéquipier de Michael Beasley d’attirer les regards de la formation catalane et ainsi de découvrir l’Euroleague avec sa nouvelle équipe dès l’automne prochain.

Jacob Pullen face à Zack Wright (Photo : Fiba)

Jacob Pullen face à Zack Wright avec leurs équipes nationales respectives (photo : FIBA)

Marcus Slaughter (ex Nancy) prolonge au Real Madrid

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Très en vue depuis son départ du SLUC Nancy en 2010, l’intérieur Marcus Slaughter (2,03 m, 28 ans) poursuivra son aventure espagnole une année supplémentaire puisque le Real Madrid l’a prolongé jusqu’en juin 2014. Cette saison, l’ancien joueur de Gravelines-Dunkerque, du Havre puis de Nancy a décroché le titre national avec le club de capitale espagnole, faisant ainsi cesser la récente domination barcelonaise. L’apport du joueur formé à San Diego State n’a pas forcément était très impressionnant sur le plan statistique (4,8 d’évaluation en championnat et 6,8 en Euroleague) mais son impact en sortie de banc a néanmoins convaincu les dirigeants de le conserver.

Dominant lors de son passage dans l’Hexagone entre 2007 et 2010, le natif de San Leandro peut se prévaloir de moyennes statistiques de 13,2 points et 8 rebonds pour 18,3 d’évaluation en 63 rencontres disputées en Pro A. La saison prochaine, l’ancien MVP du All Star Game turc tentera de se montrer plus rentable sur le plan individuel au sein d’une formation qui aura à cœur de conserver la suprématie ibérique tout en jouant les premiers rôles sur le plan continental.

Marcus Slaughter (Photo : Real Madrid)

Marcus Slaughter (photo : Real Madrid)


Marcus Goree au Brésil

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Auteur d’une saison mitigée à Cholet où il a été All Star mais n’a pas pris part aux playoffs, le poste 4 vétéran Marcus Goree (2,01 m, 35 ans) a signé pour une saison à l’Uniceub Brasilia, club multiple champion du Brésil. En 2012/13, l’ancien Havrais (2000/01), vainqueur de l’Euroleague 2007/08 avec le CSKA Moscou, tournait à 12,7 points à 47%, 4,7 rebonds et 2 passes décisives pour 12,7 d’évaluation en 31 minutes de moyenne.

Marcus Goree (photo : Loïc Favard)

 

Darryl Monroe à Manresa (ACB)

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Darryl Monroe (2,02 m, 27 ans) poursuit son ascension. Après une saison dans un championnat peu réputé (DeFriesland Aris Leeuwarden, Pays-Bas), une saison chez un promu en Pro B (Boulogne-sur-Mer), une autre chez un prétendant au titre en Pro B (Boulazac) puis une quatrième chez un club de Pro A (Boulazac), le pivot états-unien a signé à Manresa, pensionnaire du très côté championnat espagnol, où il sera le coéquipier de Max Kouguère.

Deuxième au titre de MVP étranger de la saison de Pro B 2011/12 (21,7 d’évaluation), l’ancien pensionnaire de l’université de George Mason s’est bien acclimaté à la première division française, devenant même All Star. Mais les blessures et autres suspensions – il a manqué un total de dix rencontres – ont gâché son premier exercice en Pro A où il a tout de même tourné à 14,7 points à 55,8%, 8,8 rebonds, 2,9 passes décisives et 4,2 fautes provoquées pour 18,8 d’évaluation en 33 minutes.

Darryl Monroe (photo : Eric Legrand)

Darryl Monroe (photo : Eric Legrand)

Edwin Jackson : « Il faut gagner un titre avec l’ASVEL »

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Présent  à la conférence de presse de début de saison de l’ASVEL, Edwin Jackson a livré ses impressions concernant la saison à venir avec son club de cœur (il y attaque sa cinquième année). N’ayant pas été retenu dans la liste finale de Vincent Collet pour l’EuroBasket, le meilleur scoreur français du dernier exercice de Pro A pourra se consacrer pleinement à la préparation de son club et ainsi mettre en place un maximum d’automatismes avec ses nouveaux coéquipiers avant d’attaquer une saison dense où il faudra composer entre saison régulière et coupe d’Europe. Interrogé sur ses objectifs, le joueur passé par Nanterre et Rouen assume sans complexe ses ambitions concernant l’année à venir et souhaite conquérir le titre de champion après une belle saison individuelle 2012/13 conclue sans trophée collectif.

« Gagner un titre avec Villeurbanne ! Il le faut ! Avec une préférence pour le titre de champion de France forcément parce que quand j’évoque un titre, même si je respecte ces compétitions que sont la Coupe de France ou la Semaine des As, c’est bien sûr au titre de champion que je pense. L’EuroCup est également un objectif mais gagner ce type de compétition est bien sûr une mission plus difficile que de gagner un titre de champion national. Après il est clair que l’on a des objectifs dans cette compétition, notamment celui de rallier le Top 16 comme on l’avait fait il y a deux ans. Un Top 16 ce serait déjà bien », concède l’arrière international sur le site du club.

Les pieds sur terre, le MVP français en titre est cependant conscient qu’être champion de France ne sera pas chose aisée.

« Si Alexis Ajinça reste dans l’effectif, Strasbourg sera le grand favori, nous devrions nous situer dans le Top 4 ou 5 avec des équipes comme Limoges qui a fait un bon recrutement, Gravelines devrait en être également, Chalon a aussi construit une équipe avec des joueurs de talent et chaque année il y a des équipes qui créent la surprise, ce pourrait être le cas d’Antibes qui a un groupe intéressant. »

Edwin Jackson (Photo : Olivier Martin)

Edwin Jackson (Photo : Olivier Martin)

Claude Bergeaud : « On a besoin de beaucoup toucher le ballon »

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En ce début de semaine, l’Élan Béarnais effectuait sa rentrée des classes mais les joueurs n’étaient pas les seuls à reprendre du service puisque l’entraîneur palois Claude Bergeaud avait également donné rendez-vous à la presse pour annoncer les différentes étapes de cette préparation et les objectifs à venir.

Une fois les différents tests médicaux effectués lors des premiers jours, l’ancien sélectionneur de l’équipe de France entend que ses joueurs touchent rapidement le ballon afin de mettre en place un jeu d’une bonne qualité technique et collective, tout en proposant des charges de travail progressives afin de prévenir les éventuels pépins physiques.

« Pour éviter les  blessures, je tiens à ce que l’on travaille de façon progressive. On souhaite continuer à développer cette saison, sans prétention aucune, un jeu de virtuosité technique, on a besoin pour cela de beaucoup toucher le ballon. Certes nous aurons des séquences physiques qui vont impacter les joueurs mais cela va venir petit à petit. Entre la deuxième et troisième semaine de préparation, il n’y aura pas moins de cinq heures de basket par jour », détaille le technicien. 

Au cours de ces longues semaines de préparation, les coéquipiers de Sami Driss s’attelleront aux matches de préparation avec pas moins de neuf rencontres au programme dont notamment des oppositions face à des formations espagnoles renommées (Bilbao, Vitoria), dans le but de déterminer la capacité d’adaptation des joueurs face à des adversaires diverses et variés.

« On aura en tout neuf matches de préparation pour se roder ainsi que 3 entraînements en commun : un avec Boulazac, un avec Huesca et un autre avec l’équipe de Tarbes-Lourdes. On a prévu ainsi beaucoup de matches et des adversaires très différents pour pouvoir avoir cette capacité d’adaptation immédiate. On a une équipe assez recomposée avec un effectif renouvelé à 60%, nous aurons donc besoin de beaucoup d’oppositions et moins d’entraînements à la différence de la saison dernière. Après le premier bloc de travail, qui s’achèvera fin août, nous allons donner trois jours et demi  de repos aux joueurs, une coupure totale avec interdiction de venir à la salle puis un deuxième bloc avant le tournoi d’Antibes à l’issue duquel on coupera à nouveau 3 jours. Cela devrait recréer de la fraîcheur et de l’envie », résume l’ancien coach des JSA Bordeaux.

Vaste programme en perspective donc pour le promu qui aura comme première mission le maintien dans un championnat qui devrait une nouvelle fois se montrer très ouvert.

Claude Bergeaud a concocté un programme dense à ses joueurs (Photo : Seb-G)

Claude Bergeaud a concocté un programme dense à ses joueurs (photo : Seb-G)

Julien Delmas et Tony Lewis complètent l’effectif de Prissé-Mâcon (NM2)

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Après avoir signé le meneur de Saint-Vallier Florent Cornéo tout en reconduisant le noyau dur de son effectif (Remigijus Trakimas, Benjamin Jobert, Sébastien Ducoté, Clément Sangouard, Julien Geourjon et Yacinthe Manicord), l’ES Prissé Mâcon a terminé son recrutement en engageant deux nouveaux joueurs.

Ainsi, le jeune poste 2 Julien Delmas (1,89 m, 21 ans) rejoint l’ESPM après avoir tâté à la Pro B durant deux ans au Portel (3 matches et 8 petites minutes dans l’antichambre) tout en évoluant la majeure partie du temps avec l’équipe réserve de l’ESSM en Nationale 3. Formé à Pau-Lacq-Orthez (2,8 points à 32% en 9 minutes et 27 matchs en Espoirs en 2010/2011), il se voit donc offrir une belle occasion de montrer ses progrès.

A l’intérieur, c’est l’ancien joueur de Roche La Molière Tony Lewis (2,05 m, 27 ans). Après avoir passé sept saisons au sein de l’ALR, cet intérieur costaud avait signé en 2011 à Mandelieu, avec qui il était monté en NM2 en 2011/2012. Mais il a aussi connu le cauchemar de la saison dernière, où le club des Alpes Maritimes avait dû déclarer forfait général fin novembre.

Julien Delmas (Photo : ESSM Le Portel)

Photo : ESSM Le Portel

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